Le Bureau des Containers et du Transport Intermodal
La Convention de Chicago
L’OMD
La Convention de Kyoto
L’IMO
La Convention d’Istanbul (non membre)
La Convention douanière relative aux conteneurs (non membre)
Les Règles de Rotterdam (non membre)
La Banque africaine de développement
La Commission économique pour l’Afrique
L’AUDA-NEPAD
L’Union africaine
La Convention lutte contre la corruption (UA)
Coopération sino-africaine
Le Partenariat Corée du Sud-Afrique
Le Partenariat Japon-Afrique
Le Sommet Afrique-Amérique du Sud
La Coopération afro-arabe
La Banque BADEA
Afrique-BRICS
Le Forum Afrique du Sud-Inde (Bharat)
Le Partenariat Asie-Afrique
Le Partenariat Turquie-Afrique
L’OIF
La BM
Les NU
Le Centre du commerce international
La CNUCED
L’OMPI
Le FMI
Les incalculables contraintes au développement économique de la République centrafricaine
(Afrique) sont fondamentalement liées à sa superficie très vaste (623 000 km²) et peu peuplé (5
100 000 habitants, six habitants par km²)
La pauvreté est un phénomène réel en République centrafricaine : 67 % de la population centrafricaine vive en dessous du seuil de pauvreté
L’agriculture représente 55 % du PIB de la République centrafricaine
Les principales cultures centrafricaines sont le manioc, les bananes, le maïs, le café, le coton et le tabac
La région du nord-ouest et le centre de la République centrafricaine représentent un
bassin agricole notable pour les cultures de coton et de canne à sucre
L’exploitation forestière en République centrafricaine contribue largement au PIB, avec d’importantes ressources en bois tropicaux
L’activité minière (or et diamants) représente l’autre ressource importante de la République centrafricaine en matière de recettes d’exportation : la production officielle, surtout artisanale, de diamants de joaillerie était de 500 000 carats annuels
Le tissu industriel centrafricain est presque inexistant et n’a pas été développé par rapport aux pays voisins (Cameroun), il a aussi souffert de problèmes militaires.
Grave crise politique : cadre de transition (président autoproclamé)
La croissance du PIB centrafricain : -34,2 %.
- Le secteur primaire : 50 % du PIB
- Le secteur secondaire : 20 %
- Le secteur tertiaire : 30 %
L’inflation : 6,5 %
Le secteur centrafricain le plus dynamique : les nouvelles technologies d’information
Le potentiel minier : les diamants, l’or, l’uranium, le fer, le pétrole...
Le groupe Kamach est en pleine expansion, fondé sur une gestion rigoureuse et une stratégie de partenariat et d’échanges. Le développement du groupe KAMACH se construit surtout sur les métiers de la distribution en biens d’équipements électriques et l’exploitation forestière.
Exemple : le commerce international centrafricain :