Pourquoi avons-nous besoin d’une éthique mondiale ?

1. Le besoin d’un modèle d’éthique mondiale
2. Les implications de l’éthique mondiale sur les affaires et la mondialisation
3. Quelques cas des chefs d’entreprise qui appliquent des modèles d’éthique mondiale :
   1. Kiran Mazumdar (Fondatrice de Biocom. Inde. Hindouiste)
   2. Azim Premj (Fondateur de Wipro. Inde. Musulman)
   3. Srichand Hinduja (Fondateur du groupe Hinduja. Inde. Hindouiste)
   4. Kazuo Inamori (Fondateur de Kyocera. Japon. Moine bouddhiste zen)
   5. Bhavarlal Hiralal Jain (directeur de Jain Irrigation. Inde. Jaïniste)
   6. Carlos Slim (Fondateur du groupe Carso. Mexique. Chrétien)
   7. Bill Gates et Warren Buffet (fondateurs de la plus grande initiative philanthropique : l’engagement de donner. États-Unis. Agnostiques)
4. Conclusions finales

« Pourquoi avons-nous besoin d’une éthique mondiale ? » fait partie des programmes proposés par l’EENI Global Business School :

Doctorat professionnel en éthique mondiale, religions et affaires.

Masters : religions et affaires, affaires internationales, commerce international.

Langues : ou Ethics Ética.

Pourquoi avons-nous besoin d’une éthique mondiale ?

Crise mondiale (financière, économique, politique...) nous avons la nécessité d’une éthique mondiale pour les affaires.

Comment nous l’avons vu, l’éthique mondiale a une influence sur...

1. Le commerce international : « vers l’entreprise Ahimsa ? »
2. Un nouveau modèle de la mondialisation
3. La science
4. L’éducation. Vers une éducation avec des valeurs qui transcendent les cultures
5. La politique
6. Le dialogue entre les religions et les cultures
7. ...

L’influence de l’éthique mondiale sur les affaires internationales et la mondialisation.

1- Le commerce international et l’éthique mondiale.

a) Les stratégies de marketing international.

S’adapter à l’échelle mondiale avec les principes d’éthique mondiale.

Impact sur :

1. Le plan de marketing international : la conception des produits, les politiques de promotion et de communication, les stratégies de distribution, le positionnement, l’image de marque, la segmentation, le prix...
2. La chaine de valeur (les fournisseurs, les distributeurs, les filiales...)
3. Les personnes (les travailleurs, les gestionnaires, les directeurs...). Le code éthique (déontologie)

b) Des relations de confiance.

Incrément des affaires, la fidélité à la marque...

c) Éviter les affrontements interculturels.

La négociation interculturelle (Hoffstede, Edward Hall...) mesure les différences entre les cultures. L’éthique mondiale repose dans des valeurs communes.

D) L’économie numérique. Google, Facebook...

Qui défie les limites de la confidentialité ?

2- Un nouveau modèle de mondialisation.

Un marché libre et ouvert fondé sur les principes de l’éthique mondiale et dans le respect pour l’environnement et l’humanité.

Vers un capitalisme spirituel et une « entreprise Ahimsa » : le succès de l’entreprise est mesuré par :

1. Les valeurs : l’intégrité, la non-violence (Ahimsa), la tolérance.
2. Les résultats : l’efficacité, la rentabilité.

Et n’oubliez pas :

Les chefs spirituels montrent le chemin. Quelques leaders des entreprises du monde sont en train de développer ses enseignements...

Nous devons ouvrir notre esprit et notre cœur à la vision non occidentale...

À l’hindouisme...

Le bouddhisme...

L’islam...

- La zakât (Solidarité).

1. La taxe zakât comme un pilier de la politique fiscale islamique
2. Cité trente-quatre fois dans le Coran
3. Un bon musulman doit payer chaque année 2,5 % de ses actifs de sa fortune, pour profit des plus pauvres ou dans un état de disgrâce

- Le rôle des banques dans l’économie mondiale.

1. En vertu des principes des finances islamiques, une banque ne peut pas être un prêteur unique qui n’est pas impliqué dans les affaires ; la banque devrait être une partenaire financière
2. La banque assume les risques de l’entreprise et a donc une partie de la propriété des entreprises

Le jaïnisme...

Le christianisme...

Les agnostiques...

L’économie, les finances, la politique... a été globalisée... Pourquoi pas l’éthique ?.

L’histoire de l’humanité nous a légué à travers de nos ancêtres ces traditions de sagesse, ces fenêtres ouvertes à la compréhension qu’aujourd’hui, dans l’ère de la numérisation et de la mondialisation, nous, ou peut-être les prochaines générations, peuvent les perdre. Le poète anglais T.S. Elliot nous a expliqué ce risque avec ces beaux mots :

« Où est la connaissance que nous avons perdue dans l’information ?
Où est la sagesse que nous avons perdue dans la connaissance ? » TS Elliot.

La Bhagavad-Gita, l’un des livres sacrés de l’hindouisme dit...

« Quand la bonté faiblit
Quand la méchanceté augmente
Quand on oublie le propos de la vie.
Je me manifesterai, je reviendrai.
Pour dire le sacré ; pour détruire le péché du pécheur, pour rétablir le chemin des principes ».

Nous demandons des excuses de nouveau, si déjà soit par ignorance ou par faute d’information, nous ayons pu offenser à quelque adepte des religions analysées.

Bhagavad Gita, Sri Ramakrishna et Swami Vivekananda.