Économie islamique : Coran, Charia, Sunna, zakâtPrincipes de l'économie islamique (Coran, charia, sunna) prêt à intérêt
Exemple : l’économie islamique L’UE « L’économie islamique » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Cours : Islam, éthique et affaires. Doctorat en étique, religions et affaires, affaires islamiques, affaires africains. Master en affaires en Afrique, affaires internationales, religions et affaires. Pourquoi étudier « Islam et affaires » ? Langues : + Islamic Economics Economía Islámica Islão. Les principes de l’économie islamique se fondent sur le Coran, la charia, la Sunna et les Hadiths (des exemples et des mots de Mahomet), comme presque tous les aspects de l’islam (Civilisation islamique). Le concept de système économique en Occident et du monde islamique est très différent, alors que dans le premier on tend vers une sécularisation de l’économie, dans les pays islamiques la religion doit occuper un rôle primordial. C’est pour cela que les experts parlent d’une économie islamique qui cherche le progrès économique mais en préservant la morale et les valeurs musulmans, avec des caractéristiques propres et diverses en relation avec l’économie, capitaliste ou socialiste, des pays occidentaux. Le bouddhisme a aussi développé le concept d’économie bouddhiste. Les principales caractéristiques d’une économie islamique sont : 1- Les normes de comportement et d’éthique dérivée du Coran et de la Sunna. L’impôt zakât est la base de la politique fiscale islamique. Un bon musulman doit payer annuellement 2,5 % de son patrimoine de sa richesse nette (ne de son patrimoine), pour aider les frères les plus pauvres ou dans le malheur. Pour des produits agricoles, les métaux précieux, les minéraux et le bétail, la zakât peut varier entre 2,5 % (1/40) et 20 %, en fonction du type de marchandises. La zakât a été créé pour décourager l’accumulation de capital et pour stimuler l’investissement. Les centres de production, telle que les équipes, les usines et les outils sont dispensés du zakât. Dans certains pays musulmans comme l’Arabie saoudite et le Pakistan, la zakât est obligatoire et il se collecte de manière centralisée par l’État. En Jordanie, à Bahreïn, au Koweït, au Liban et au Bangladesh, la zakât est réglé par l’État, mais les contributions sont volontaires. 3- L’interdiction du prêt à intérêt (Riba). Dans l’islam le droit à la propriété est temporel et il est lié au bon usage que le propriétaire en fait. La charia interdit la propriété individuelle pour les biens publics comme l’eau ou l’air, sont aussi interdites à la propriété individuelle certaines matières premières basiques (minerai, le pétrole etc.). Exemple : Les monopoles, surtout ceux qui sont liés au secteur financier, sont aussi interdits par le Coran. Les religions et les affaires - les hommes d’affaires musulmans. Préférences commerciales Organisation coopération islamique. (c) EENI Global Business School 1995-2024
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