Afrique-Chine Coopération sino-africaineL'Afrique : le plus grand partenaire de la Chine. Commerce international sino-africain
Exemple : les relations économiques sino-africaines (Afrique-Chine) : Les objectifs de l’UE « La coopération sino-africaine (FOCAC) » sont :
« Les relations économiques sino-africaines » fait partie des programmes proposés par l’EENI Global Business School : Master en affaires en Afrique, affaires internationales. Doctorat en affaires africains. Cours : relations internationales africaines, religions de la Chine et affaires. Langues : ou China-Africa Africa-China China-África. Le Forum sur la coopération sino-africaine est une plateforme par les consultations et les dialogues collectifs entre la Chine et les pays africains. Le Forum sur la coopération sino-africaine représente, dans le cadre de la coopération Sud-Sud, est un mécanisme de coopération pour les pays en développement. En 2014, le commerce sino-africain a dépassé 200 milliards de dollars. Le 20 février, le président de la Chine, Xi Jinping, a déclaré : « En 2013, le commerce sino-africain a dépassé 200 milliards de dollars pour la première fois... Le plus grand partenaire commercial de la Chine est l’Afrique ». Xi a déclaré que l’investissement direct (IDE) chinois en Afrique a augmenté 44 pour cent. La Chine (pays du BRICS) est la bénéficiaire du 28 pour cent des exportations de pétrole de l’Afrique. Portail affaires africains de l’EENI. Les membres du Forum sur la coopération sino-africaine : la Chine, l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Botswana, le Burundi, le Cameroun, le Cap-Vert, la République centrafricaine, les Comores, la République du Congo, la République démocratique du Congo, Djibouti, la Côte d’Ivoire, l’Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, le Gabon, le Ghana, la Guinée, la Guinée équatoriale, la Guinée-Bissau, le Kenya, le Lesotho, le Libéria, la Libye, Madagascar, le Malawi, le Mali, le Maroc, l’Île Maurice, la Mauritanie, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigeria, l’Ouganda, le Rwanda, le Sénégal, les Seychelles, la Sierra Leone, la Somalie, le Soudan, la Tanzanie, le Tchad, le Togo, la Tunisie, la Zambie et le Zimbabwe. Pour aider l’Afrique à réduire le manque d’infrastructures, la Chine décide de fortifier ses investissements et sa participation dans ce domaine par différents moyens : l’octroi des crédits ou d’aides sans contrepartie et l’encouragement des investissements directs étrangers des entreprises exportatrices chinoises. Le commerce international sino-africain a maintenu une croissance rapide et soutenue. Selon les statistiques de l’Administration générale des douanes de la Chine, l’ensemble du commerce international entre la Chine et les pays de l’Afrique pendant les trois premiers mois a atteint 7,6 milliards de dollars (un accroissement de 31 % par rapport à la même période de l’année dernière). Les exportations et les importations chinoises se chiffrent respectivement à 3,61 milliards de dollars et à 3,99 milliards de dollars (accroissement de 43,5 % et de 21,4 %). PLATEFORME INNOVATRICE POUR L’exportation de produits AFRICAINS. Dans le domaine du commerce international, la Chine et les pays de l’Afrique veilleront à faire évoluer leur coopération, actuellement axée surtout sur le commerce international de produits, vers une coopération multiforme comprenant à la fois le commerce international de produits et de services, l’investissement direct étranger, les technologies et la réalisation de projets de construction. (c) EENI Global Business School 1995-2024
|